Quel est ton profil disc ?

Appréhender les différents comportements des sportifs
Les sportifs peuvent être classés en quatre types différents, suivant les profils DISC. L’idée étant d’identifier à quel type on se rattache, pour pouvoir mieux évoluer dans ce cadre, connaître ses tendances, traquer ses défauts et renforcer ses points forts, etc. Evidemment, ce n’est pas une science exacte, et on peut tout à fait appartenir à deux catégories, voire même un peu toutes à la fois. Enfin, en général, il y a quand même une tendance qui domine.
Dans chaque groupe de 4 lignes, entoure la ligne composée des deux adjectifs qui te qualifient le mieux.

Chaque ligne de ce tableau correspond à un groupe de quatre lignes d’adjectifs du Mini test. Mettez un point en regard de la lettre que vous avez choisie sur chacune des lignes puis totalisez les colonnes.


Dominant
Cerveau gauche, court terme. “ça passe où ça casse”. Le sportif peut “laisser tomber” s’il est persuadé de ne plus être en position de gagner. Ne va courir que s’il y a qqch à gagner ou qqn à battre, autrement s’entraîner est ennuyeux. Pour le type D, il faut avant tout gagner. N’a pas besoin de beaucoup s’échauffer avant une course. Fait rarement du spécifique, déteste les courses d’observation, prend rapidement des décisions.
Rôle du coach : Aller droit au but, être proactif et réactif, avoir un discours orienté résultat, laisser le contrôle.

Influent
Cerveau gauche, court terme. “ça passe où ça casse”. Le sportif peut “laisser tomber” s’il est persuadé de ne plus être en position de gagner. Ne va courir que s’il y a qqch à gagner ou qqn à battre, autrement s’entraîner est ennuyeux. Pour le type D, il faut avant tout gagner. N’a pas besoin de beaucoup s’échauffer avant une course. Fait rarement du spécifique, déteste les courses d’observation, prend rapidement des décisions.
Rôle du coach : Aller droit au but, être proactif et réactif, avoir un discours orienté résultat, laisser le contrôle.

Consciencieux
Adore et recherche les aspects relationnels du peloton. Courir seul est ennuyeux, pas du tout amusant. La troisième mi-temps est très importante : boire un coup, idéalement, déjeuner, refaire le monde, voilà ce qui compte presque plus que la course en elle-même. La pire chose : courir seul, faire une perf et n’avoir personne avec qui le fêter ! En compétition, peut laisser gagner à un ami pour ne pas entamer la relation. Peut écouter tous les conseils, prendre des leçons partout.
Rôle du coach : Échanger de façon sympathique, être enthousiaste, valoriser ses idées, éviter les détails.

Stable
Aime et recherche les systèmes et les stratégies de la course. Veut connaître les spécificités de chacun de ses chaussures, de son vélo, de sa combi. Conserve les stats de parcours. Aime l’ordre. Sac organisé, planning précis, notamment pour la préparation et l’échauffement. A besoin de temps pour se préparer avant de courir. Peut se laisser enfermer dans un système et ne pas écouter son intuition. Veut contrôler très précisément ses temps de passage. Peut être assez marqué par l’injustice d’une crevaison, d’un mauvais ravitaillement.
Rôle du coach : Rassurer, expliquer et parler de confort et d’adhésion, laisser du temps et respecter son rythme.